mercredi 27 février 2013

Party time


Chers lecteurs,
Je serais ravie de pouvoir écrire, mais j'ai pas le temps.
J'ai un certain nombre de posts en tête, pourtant. Posts que j'écris en pensée le soir quand je n'ai enfin plus rien à faire et que je me couche enfin dans l'espoir insensé de - enfin - dormir. (C'est d'ailleurs très pénible, cette manie qu'a mon cerveau d'écrire des posts quand je veux dormir). Quitte à ne pas m'endormir, je pourrais me relever carrément pour les écrire, vous allez me dire, mais non. Parce que j'ai la flemme. Et sommeil, donc, si vous suivez.
Certes, vous allez me dire que je ne suis jamais que prof à temps partiel, que j'ai des vacances tous les deux mois, et que donc niveau surmenage faudra repasser (et loin de moi l'idée de vous contredire sur ce point). Sauf que là, ben ça fait deux mois que je bosse, justement, et je suis éreintée. (J'ai une très faible résistance au travail, voyez-vous) (Du coup, là, je suis plus bonne à rien) (J'envisage d'ailleurs de me mettre en vacances anticipées histoire de ne pas perdre toute crédibilité sur le marché du travail avant vendredi soir).
Au moment où je vous parle, des sacs de légumes gisent sur mon parquet, à mes pieds, et ce depuis deux jours. Parce que ça fait deux jours que j'ai la flemme de me baisser, de les soulever et de les mettre au frigo. Oui je sais c'est pathétique. Mais je souffre, je vous dis.

Bref, en ce moment, ma vie n'est pas trépidante. (Je suis un gros loukoum).
D'ailleurs à ce propos, depuis peu, dans notre fil d'actualité, Facebook nous suggère de liker des pages susceptibles de nous intéresser. Or, moi, on me propose de liker des pages de "captivating wallpapers". Ca m'inquiète. Comment dois-je le prendre ?
Mon horoscope dans Métro, en revanche, m'annonçait hier qu'"à cette période", je me sentais "vigoureuse et disposée au travail" : j'ai, à l'occasion, réussi à réveiller un peu les muscles de mon visage pour rire. Un peu comme quand la prof de yoga (oui, je sais, je fais des trucs complètement inconsidérés en ce moment) nous dit "Maintenant vous allez vous relever avec force et grâce", ou encore "Tenez la position et concentrez-vous sur les sensations dans votre corps" (sur la douleur, donc).

Enfin tout ça pour dire que ça n'est pas parce que je n'ai pas de vie et que je sue sang et eau jour après jour que vous n'avez pas le droit de vous amuser.
Je vous envoie donc - dans ma grande bonté - de petits jeux pour vous divertir en mon absence, en attendant que je sois en état de revenir à la civilisation.
(Bon, j'avoue qu'à choisir, à votre place, je ferais certainement plutôt un Docteur Maboul ou un Hippo Glouton, mais bon, si vous n'avez pas ça sous la main (grosse erreur : toujours avoir un Hippo Glouton sur soi au cas où - je ne le dirai jamais assez), je suis là.
Et puis moi - prof oblige - je propose des jeux pé-da-go-giques, vous voyez.
Où on s'amuse, oui, mais on apprend aussi.
Si c'est pas merveilleux.

1) Le Jeu de la Poupée en Papier David Bowie.


Il faut associer chaque costume à une période. Ludique ET éducatif. Beaucoup de bonheur.
Vous pouvez aussi évidemment l'imprimer (je sais que vous en avez envie), découper le tout et jouer à l'habiller (ne niez pas), voire (et moi c'est ce que je ferais) lui dessiner de nouveaux habits. 
Pfff. Tout ce temps perdu à enseigner l'anglais alors que je pourrais confectionner des costumes en papier, faire des photos de storm troopers tranquille chez moi ou fabriquer des Barbies Retour Vers le Futur avec ma cousine... ça me désole.

2) Le jeu des petits bonshommes Océdar.
Vous avez sûrement déjà vue cette affiche des oscars, vu que, dernièrement, elle était partout, mais est-ce que vous avez joué à trouver à quel film correspondait chaque statuette ? Non ? Vous n'avez pas que ça à foutre, dites-vous ? Tututut.
C'est là : 
85 oscars pour 85 films de 1927 à 2012
Bon courage ! Ca devrait vous tenir occupés un certain temps.
Parce que c'est pas évident du tout. Moi personnellement à part Autant en Emporte le Vent, My Fair Lady et Ghandi... j'ai lutté).

Amusez-vous bien !
(Gros atelier loisir en perspective).
(De rien).


Sinon, moins fun, y a un mec en Belgique qui vient de tomber sur mon blog en tapant "nude forced éviscérée". De là, deux questions :
1) Comment expliquez-vous qu'on tombe sur mon blog en tapant ça ?
2) Comment expliquez-vous qu'on tape ça tout court ? Franchement ?  
Non parce que 1) ça veut rien dire, et 2) ça sonne assez déplaisant. 
(Nudité + non consentement + éviscération = pas cool).  
Autant je me réjouis jour après jour de la notoriété du Prince de Mot Tordu à travers le monde (des gens tombent tous les jours sur La princesse, la ballerine et le crapaud en tapant "La Belle Lisse Poire du Prince de Mot Tordu" sur Google aussi bien en France qu'en Algérie, en Malaisie, aux Emirats Arabes Unis, aux Philippines... c'est sidérant), autant la quantité inquiétante de gens qui tombent sur mon blog à la recherche d'images de "midinettes" nues, éviscérées ou non (c'est en option) se faisant sauvagement sodomiser contre leur gré par des accessoires divers commence à m'oppresser passablement... (C'est moins Party Time, tout de suite).
Non mais les gens, quoi. Vous êtes sick. Et puis surtout : vous tapez ça dans Google ?? Vous avez jamais entendu parler de Youporn, sérieux ? Et puis surtout ça vous éviterait d'êtres déçus. Non parce que je doute qu'un mec parti pour se palucher devant une scène de gang bang d'adolescente se dise, en tombant sur mon blog, que finalement, jouer avec une poupée en papier David Bowie, c'est sympa aussi. Donc bon. Ciblez, un peu, quoi. Et laissez mes statistiques tranquilles. Merci.

jeudi 14 février 2013

Hey palls, let's have a ball

I love you once, I love you twice, I love you more than beans and rice.



Je n'avais pas du tout l'intention d'écrire un post sur la Saint-Valentin.
Parce que la Saint-Valentin, disons-le, je m'en fous.
Mais il fallait que je publie mes photos de Storm Troopers Lego, vous comprenez.
Du coup voilà, je fais un post sur la Saint-Valentin.
(Mais ça valait le coup, non ?) (Hein qu'ils sont beaux ?).

La Saint-Valentin, donc.
Cette fameuse "fête des amoureux" où les couples sont tenus de s'offrir des bijoux, du parfum, des coeurs, des chocolats, de dîner aux chandelles, de se déclarer leur amour avec fougue et de s'envoyer en l'air comme jamais*. Romance, spontanéité, authenticité, originalité... L'amour, quoi.
(Oui je vous préviens - post sur la Saint-Valentin oblige - je vais enfoncer des portes ouvertes).

* Grosse pression : c'est un peu le même principe que pour le 31 décembre. Ca peut aller très bien le reste du temps, mais, pour une raison quelconque, si ce soir-là c'est pas la nuit la plus romantique de ta vie, c'est que t'as raté ton couple. Ou comment inventer un jeu de con. 

Je n'ai jamais fêté la Saint-Valentin. Au temps jadis, je veux dire. Quand j'étais en couple.
On était très amoureux, hein, et plutôt sujets aux actes romantiques, par ailleurs, ça n'a rien à voir. (Disons qu'on avait l'amour élitiste).
Faut dire que, avouez, ça n'est pas très romantique de se faire des cadeaux "de circonstance" et de dîner en amoureux le même soir que tous les couples d'Occident. (Allez vlan, une première porte). 
Déclarer son amour le jour de la Saint-Valentin, à mon sens, c'est un peu comme faire sa demande en mariage sur un plateau télé, en fait (enfin en moins horrible, s'entend) : c'est cheap et téléphoné (j'aime bien cette expression, "téléphoné" - c'est comme "fort de café" : délicieusement désuet), et disons-le, pas romantique pour deux sous. (Ouais, j'ai décidé d'afficher un point de vue révolutionnaire, ce soir, t'as vu). 
(A chaque fois que je vois un mec demander une fille en mariage à la télé, je trouve ça abominable. J'ai envie de pleurer pour elle. Moi personnellement si un mec me faisait ça, je crois que je lui éclaterais la gueule). 

Le coup des fleurs et des déclarations d'amour anonymes glissées en secret dans les casiers et les boîtes aux lettres, je trouve ça plutôt rigolo et mignon (quoique contre-productif), mais bon,  sincèrement : vous avez déjà reçu un cadeau anonyme ou une mystérieuse carte d'un admirateur secret, vous ? Une déclaration d'amour sortie de nulle part sur du papier parfumé ? Des roses sans expéditeur ? Ca n'arrive jamais. On nous ment ! Ce ne sont que des légendes entretenues par les scénaristes pour pimenter leurs séries et relancer les intrigues amoureuses. (Snif).

La Saint-Valentin, ça n'est fêté que par les couples. 
Or, je ne suis pas sûre que la Saint-Valentin fasse du bien aux couples qui la fêtent.
Quoique bon, c'est sûr qu'à priori, se faire une soirée en amoureux, ça ne peut pas faire grand mal. J'ai d'ailleurs un pote qui vient de m'envoyer un mail pour m'annoncer ses fiançailles, donc il a l'air de la vivre plutôt bien, lui, sa Saint-Valentin. (Cette petit enflure) (@%#£$*µ!!!) (hmgrfh) (pardon) (reprenons).
C'est juste que quand je pense à la Saint-Valentin, je pense toujours immanquablement à cette petite scène à laquelle j'ai assisté un 14 février il y a maintenant dix ans, chez une amie de la fac :
Ce soir-là, on était tous chez N pour la soirée. Pas très Saint-Valentin attitude, donc. Son mec - un pote de fac aussi - était donc arrivé les mains vides. Or, quand elle lui avait offert son cadeau - devant nous - et qu'il s'était avéré qu'il n'avait rien pour elle, elle l'avait mal pris.
Lui, penaud : "Mais t'as dit qu'on s'en foutait, que c'était une fête commerciale".
Elle, excédée : "Oui mais c'était pour que tu me fasses la surprise !".
Elle s'était mise à bouder. Il était parti.
Quand il était revenu, cependant, il avait - évidemment - un bouquet de roses à la main.
Elle l'avait accepté, et elle lui avait dit, un peu amère : "Merci, mon amour. Et puis ce qui me touche, surtout, c'est que tu t'es pas du tout senti obligé".
Ou comment foutre la merde dans un couple pour rien.

De même, je n'ai pas pu m'empêcher de sourire quand, ce matin, dans le RER, j'ai ouvert 20 Minutes (ou Métro, ou Direct Matin, peu importe) pour tomber, en deuxième page, sur une annonce faite aux hommes pour la Saint-Valentin : "Messieurs, ce n'est pas le jour pour l'irriter". La phrase était signée d'une rose, et les lettres étaient couvertes de piquants.
C'était pas une pub, hein : juste une mise en garde, un truc pour rappeler aux mecs partis travailler le matin que "les gars, ce soir c'est la Saint-Valentin alors va falloir penser à pas trop déconner si vous voulez pas que votre meuf vous fasse la misère". 
Ca fait envie, non, de savoir que votre cadeau est attendu comme un dû, qu'on s'attend à ce que vous le fassiez parce que c'est juste normal mais que si vous le faîtes pas vous êtes un gros bâtard ?
Ca met dans le mood, tout de suite, non ?
 (Je sais pas vous mais moi je trouve ça un petit peu fort de café).
Bref, love is in the air, j'ai envie de dire.

Evidemment, soyons honnête, je ne cracherai jamais sur une déclaration d'amour ou un bouquet de fleurs, et encore moins sur une boîte de chocolats - yum yum. J'aimerais bien, moi, qu'un amoureux transi, tremblant et rougissant, vienne m'offrir une mix tape.
Mais rien. Mes élèves étaient très déçus.
- Dites, Madame, Monsieur Isidor, il vous a offert un cadeau ?
- Non. Mais j'imagine qu'il a offert un cadeau à sa petite amie... (J'essaye de leur faire comprendre, en douceur - il faut les ménager, à cet âge là - qu'Isidor et moi, ça n'arrivera pas).
- Hein ? Sa "petite amie" ? Mais il est pas marié, alors ?
- Non. Mais il vit avec quelqu'un et ils sont fiancés : ils vont se marier, donc.
- Ah ? C'est tout ? Mais c'est de la gnognotte, ça, madame ! Un amour de vacances, rien de plus ! On sait tous que c'est vous, son véritable amour...
(Je les adore. Ils me font rire).

Bref. Pas de petit mot d'amour, donc. 
Enfin si : MoMA m'a souhaité une bonne Saint-Valentin, et Lady V m'a envoyé l'adresse d'un tumblr avec des photos de chattes. En toute simplicité. Encore une journée fleur bleue, donc. 

Mais bon, de toute façon je m'en fous, moi je suis amoureuse de Wall-e.




Enfin, pour en revenir à Isidor, il ne me facilite pas la tâche, le bougre.
L'autre jour, en salle des profs, à brûle pourpoint :
Isidor : T'as une peau de rousse.
Moi : Euh... oui.
Isidor : Non parce que quand on te voit comme ça au départ ça se voit pas, mais si on regarde bien t'as des petites taches de rousseur au coin de l'oeil, juste là (il me touche). C'est trop mignon...
(Euh... Certes... Bon et sinon on procède comment, je te montre mes seins tout de suite ou comment ça se passe ?).

Bref. Tout ça pour dire que je voulais vous souhaiter une joyeuse Saint-Valentin.
Car je suis amour et je veux votre bonheur, mes petits padawans. 
Je vous souhaite donc à tous de recevoir plein d'enveloppes rose bonbon et de gros nounours qui enlacent des coeurs, puis d'aller vous ébattre dans les champs en riant comme Padmé et Anakin, de réciter des vers dans la piscine comme Roméo et Juliette, de faire l'amour au ralenti au milieu des fleurs comme Zach et Sarah, bref les trucs qu'on fait quand on s'aime, quoi.


Bonne et belle soirée guimauve à tous, donc !

Ah oui, et puis je vous envoie cette chanson, aussi. Oui je sais ça n'a rien à voir. Mais bon. J'ai envie.



Oui parce que je vous aurais bien envoyé une ou plusieurs chansons d'amour, voyez-vous, mais je n'ai pas réussi à me décider pour une seule. Du coup, je me suis dit que j'allais vous mettre à contribution en vous demandant de m'envoyer les titres ou les liens de vos chansons d'amour préférées. Ok ? Comme ça, à nous tous, on fera la mix tape de l'année ! Je compte sur vous.


mercredi 6 février 2013

Un joyeux non-anniversaire.

(Un post de grand n'importe quoi en veux-tu en voilà)


Un bon résumé de mon année

Aujourd'hui, ce blog a un an. 
J'écris donc un petit post pour marquer le coup, en attendant d'en écrire un autre, plus long, très prochainement - oh les mecs regardez un ours polaire -, c'est promis.   



Entre temps, ma vie n'a, il est vrai, pas beaucoup avancé (comme on l'a vu dans le post précédent).
Mais.
- L'année dernière à la même date, je n'avais pas encore découvert les masques capillaires au Monoï et je n'avais pas de longs cheveux soyeux qui sentaient la noix de coco à deux kilomètres à la ronde (de rien, Paris) (hum), et ça, je pense qu'il est important d'en prendre note. (Deux élèves à côté de moi dans le couloir du collège, perplexes : "Ca sent la purée...", "Non, ça sent les bonbons").
- Je n'avais pas non plus eu l'immense privilège de découvrir Secrets d'Histoire, merveilleuse émission présentée par Stéphane Bern et grâce à laquelle Cléopâtre, l'homme au masque de fer et les Romanov n'ont plus de secrets pour moi (ma culture est sans limite). Et ça, vous le reconnaîtrez, ce n'est pas rien. Même que vous êtes un peu impressionnés, avouez.
Une année bien remplie, donc. Riche en découvertes, tout ça.
Et, la vie n'étant qu'un long processus d'apprentissage, permettez-moi aujourd'hui de vous faire partager encore un peu de mon savoir pour cette nouvelle année :
- L'orgasme du cochon dure en moyenne environ 30 minutes. (Enfoirés de cochons !).
- A l'équateur, tout le monde pèse 1% de moins. (Ah ? Bon).
- Vous avez environ une chance sur 20 000 d'être assassiné. (Euh... C'est beaucoup, non ?)
- Un tyrosémiophile est une personne collectionnant les étiquettes de fromage. (Enfin de l'info !)
- Les ours polaires sont gauchers. (Oh les mecs regardez un ours polaire !)
- Charlie Chaplin a remporté le troisième prix d'un concours de sosie de Charlie Chaplin. (Huhu).
- Il y a plus de poulets que d'humains sur Terre. (C'est la fin, les mecs. Tenez vous prêts).
A ce propos, je vous invite à lire Elmer, bande dessinée dans laquelle les poulets, devenus intelligents, doivent se battre pour obtenir le statut de citoyens à part entière. (Ils vivent dans des ghettos, on refuse de les embaucher, les couples mixtes doivent se cacher, bref il ne fait pas bon être un poulet dans ce bas monde. La révolte est proche).


- La girafe peut lécher ses propres oreilles. (La girafe est un animal dégoûtant).
- Vous ne pouvez pas lécher votre coude. (Ouais alors peut-être que vous le saviez, mais moi je ne le savais pas. Et autant je m'en foutais jusqu'ici de ne pas pouvoir lécher mon coude - je n'y avais même jamais pensé - autant maintenant ça me perturbe : j'y travaille, donc. Avec entrain. Et grâce, surtout). 
- Un crocodile ne peut pas tirer la langue. (Mais ne le lui dites jamais, hein, soyez sympa, parce que sinon après ça va lui faire comme à moi, ça va le travailler).
- Une femelle furet meurt si elle est en chaleur et qu'elle ne trouve pas de partenaire. (I know how you feel, girl).
- Il est contraire à la loi de jouer à la marelle un dimanche dans le Missouri. (Et ça, ben je sais pas vous mais moi je trouve ça proprement inadmissible ! Je propose qu'on organise des marelles sauvages pour exprimer notre opposition) (Ca y est, j'ai envie de jouer à la marelle, maintenant). Car il faut se battre pour ce qui nous tient à coeur, comme ces bonhommes de neige qui se mobilisent en masse contre le réchauffement climatique :

Ouais, j'ai décidé que ce blog manquait de poulets et de bonhommes de neige, aussi.

- D'après la loi de Georgie, un poulet a interdiction de traverser la route. (Ben ouais attends, déjà qu'ils sont plus nombreux que nous, si en plus on se met à leur donner le droit de faire n'importe quoi...)
- La licence d'utilisation d'iTunes spécifie qu'il est interdit de l'employer comme composant d'un missile ou d'une arme nucléaire, chimique ou bactériologique. (J'avais oublié de préciser la même chose à propos de ce blog mais je vous saurais gré d'en tenir compte à partir de maintenant, merci).
- La probabilité d'être tué par la foudre est de 1 sur 2 millions. (On a donc beaucoup plus de chance d'être assassiné. Tout va bien).
- Vous avez plus de chance d'être frappé par la foudre que de gagner au loto. (Et donc beaucoup beaucoup plus de chance d'être assassiné) (Assassiné par un mec qui aura fait une arme nucléaire avec iTunes, qui sait). (On vit dangereusement, les mecs).
- Freud avait la phobie des fougères. (Hahahaha).

Voilà voilà... C'est tout pour aujourd'hui.
(C'était vraiment très intéressant).
De rien.

Sur ce, je vous embrasse.
A bientôt.
Et d'ici là, n'oubliez pas de vous méfier de la foudre, d'iTunes, des poulets (ces êtres fourbes), et des ours polaires (ils sont partout). Et des fougères, aussi. On n'est jamais trop prudents. 

Et un joyeux non-anniversaire à vous !

Oh, les mecs, regardez, une souris dans une chaussette !
(pardon, j'arrête)