mercredi 7 mai 2014

Mimi Cracra au pays des odalisques

Ceci est ma main.
Vous êtes émus, hein ?


Aujourd'hui, quelqu'un est tombé sur le blog en tapant "humour subtil".
Il y a décidément un problème de référencement sur Google.

(L'autre jour,  c'était "Anna Karina montre sa chatte". Pas mal non plus).

********

Je n'ai pas beaucoup écrit ces derniers temps car je n'ai pas grand chose à raconter, pour dire vrai.
(Je dis ça pour mettre Titiou Lecoq à l'aise).

En vrai, ce que j'ai à raconter, surtout, en ce moment, c'est que :

- Je suis coincée dans la Pastille Pyramid, au niveau 169, dans lequel je péris lamentablement une bonne vingtaine de fois par jour depuis une bonne semaine. Oui. Et même que les jelly fish et autres super bonbons bonus n'y font rien. Je souffre.


- Par contre je suis plutôt douée à Pandemic, jeu que le Capitaine (récemment rebaptisé le Capitaine Habibi) m'a fait découvrir quand j'étais en quarantaine, histoire de m'occuper tout en restant dans le thème. Même que j'ai presque réussi à anéantir l'intégralité de la race humaine ! Sauf que ces petits sagouins de Malgaches ont fermé leurs frontières avant que je ne puisse les contaminer, si bien qu'ils ont pu trouver un vaccin, me faire la peau et sauver l'humanité. Dammit.
(Ils ne paient rien pour attendre).

- J'ai aussi joué à Which Star You Look Alike? sur Facebook (en respirant très profondément pour oublier que ce titre est grammaticalement incorrect et que rhaaaa putain de bande de grosse quiches analphabètes donnez moi vos carnets de correspondance), sauf que comme ma photo de profil était à ce moment-là une image de Mimi Cracra (oui), ça a été un peu compliqué pour le logiciel. Cela dit, il a quand même fini par trouver, après avoir ramé pendant une bonne vingtaine de minutes.
Et ça valait le coup d'attendre :

Avouez que la ressemblance entre Mimi Cracra et Kate Hudson est indéniable.

Bref, je glande. Le Capitaine est reparti outre-Manche, je suis donc seule chez moi.
Avec Nala.

Cours de 6ème sur la famille, l'autre jour.
Je venais de leur demander de me présenter leur famille en commençant par : "My name is X and I live in Y with..."
Là, je me dis que c'est l'occasion de leur apprendre à dire "seul", quand même, même s'ils vivent tous avec quelqu'un, et j'introduis donc la phrase "I live alone".
Ce qui donne au tableau : "Miss Mosby lives alone".
Bon. Jusqu'ici tout va bien.
Jusqu'à ce qu'un élève s'exclame : "Ben non  Vous vivez avec votre chat !" (Je leur ai parlé de Nala pendant le cours sur les animaux domestiques).
Et là, tout a basculé.
En un rien de temps, sans que j'aie rien vu venir, ils étaient tous là, sous mes yeux, à noter dans leurs cahiers cette phrase écrite en gros sur le tableau :
Miss Mosby lives alone with her cat.
(Arf).

Nala va bien, à ce propos. Même qu'elle a grossi de la tête, ce qui me rassure.
Non parce qu'à l'adolescence, elle était quand même passablement difforme :

Nicky Larson bonjour.

********

Je suis seule chez moi et les cours ont repris, donc, mais je vous rassure, je vais très bien.
Je suis réconciliée avec mon métier, grâce aux vacances de Pâques, au soleil, à la fin de l'année qui approche ET grâce aux jours fériés. Aah, les jours fériés du mois de mai. Tous ces jeudi qui sautent, toutes ces heures de cours de 3ème qui n'auront jamais lieu, tout ça juste avant les conseils de classe qui approchent à grands pas et après lesquels ils ne viendront plus... je suis une femme heureuse. 
Bref, je suis reposée, il fait beau, il fait chaud, rien n'est grave, tout va bien.
Et puis les élèves aussi sont reposés, donc beaucoup moins pénibles qu'avant les vacances.
Même si bon, le collège reste le collège, ne nous mentons pas.

Aujourd'hui, cours de 3ème, je confisque le portable d'une élève.
Moi : Non mais je rêve ! Tu joues à Candy Crush dans mon cours ?!
Elle : Mais non madame !! C'est pas Candy Crush, c'est Jelly Splash !!

********

Sinon j'ai quand même à raconter que j'ai été au Maroc, dites.


Un beau voyage en amoureux avec le Capitaine Habibi, donc.
Et quelques potes, qu'on a retrouvés sur la côte le dernier week-end.
Même que c'était drôlement bien. 

Même s'il y a eu quelques petits ratés, je ne vous le cache pas.
Comme le premier soir où, arrivés à Meknès, ravis, comblés, on s'est trouvé une petite pension dans la médina en face d'une petite mosquée avant d'aller dîner dans un petit restau (Joie. Romance), soirée qui s'est soldée par une nuit de cauchemar où le Capitaine a agonisé et s'est vidé de ses entrailles  (bienvenu au Maroc) (heureusement, j'ai pu le mettre à l'aise deux jours plus tard quand il a dû me tenir les cheveux pendant que je passais la nuit à vomir mes tripes) (ah, les voyages) jusqu'à ce que, épuisés, à cinq heures du mat', on essaye de se rendormir ENFIN et là... appel à la prière.
Dans la mosquée d'en face.
Celle avec le minaret à trois mètres de la fenêtre.
Argh.



Mais bon, ce genre de petites mésaventures créent des souvenirs qu'on raconte volontiers après.
C'est d'ailleurs ce que j'expliquais en pleine rue à nos potes quelques jours plus tard à Asilah : "Bah, c'est rageant sur le coup mais bon, ça fait des histoires à racont..." quand VLAN, je me suis mangé un poteau en pleine gueule. (Véridique) (Pierre Richard, sors de ce corps). 
(Je répète : j'écris ce post pour mettre Titiou Lecoq à l'aise).

 
Bon, mais hormis ces petits épisodes fâcheux, c'était un voyage fantastique. 
Parce que les tagines, les brochettes, les cornes de gazelle, le jus d'orange pressée et le thé à la menthe et les petites olives vertes et les pâtisseries marocaines à la pâte d'amande et à la pistache et rhaaaa, je veux y retourner. 
Bon, on n'avait pas le droit de rentrer dans les mosquées, ce qui est frustrant (quoique compréhensible), et on a un peu été harcelés dans la médina de Fès (très touristique et un peu oppressant, Fès) par les mecs qui te tiennent la jambe même quand tu leur dis que non, tu veux pas de guide (sauf que tu finis par en prendre un quand même parce que tu comprends vite qu'il y en a à tous les coins de rue et qu'à moins que t'en payes un pour que les autres te foutent la paix, tu seras arrêté tous les dix mètres)- et aussi par les mecs qui te proposent "du cannabis pour oublier Hollande" (true story) absolument partout après 19h - mais c'est pas grave.
J'aime le Maroc d'amour.

Et puis - grand moment de bonheur - j'ai été au hammam. Un vrai hammam marocain.
(Quand, avant de partir, j'ai demandé à des étudiantes de l'école de commerce où je travaille si elles avaient de bonnes adresses de hammam à me donner à Rabat (leur ville d'origine), elles m'ont dit d'aller dans une salle de sport, le Movin'. Ca m'a déprimée).


Je suis allée au hammam, donc.
Et même qu'on étaient toutes étendues sur des draperies brodées de fils d'or et qu'on a joué de l'oud et du tambourin à poil en mangeant des dattes. 
Et on était toutes complètement nues, lascives, les tétons dilatés, les cheveux humides ruisselant le long de nos nuques et de nos seins, et on s'est toutes mises à se caresser et...
Non, je déconne.


En fait, on était bel et bien toutes complètement à poil, les cheveux trempés et les tétons dilatés, mais plutôt échouées comme des baleines sur le carrelage au milieu des seaux d'eau pendant que des meufs en slip, avec des numéros brodés sur le cul et des bouteilles de produit nettoyant coincés dans la culotte sur la hanche comme des flingues prêts à être dégainés, passaient la serpillère frénétiquement entre nos corps alanguis.
Oui parce qu'au vrai hammam beldi ("du bled", roots) (pas au spa, donc), y a des meufs à poil partout, chatte pas épilée à l'air, qui s'enduisent de savon noir et de rhassoul entre elles, s'épilent les jambes au rasoir, se lavent les cheveux, se gomment les peaux mortes, puis se rincent en se balançant des seaux d'eau sur la gueule. Et même que c'est vachement sympa.

C'est étrange, d'ailleurs, ce pays où le corps de la femme est entièrement caché (elles sont quasiment toutes couvertes de la tête au pied), où le corps est tabou, et où pourtant elles s'exhibent entre elles sans aucune pudeur.
Quel paradoxe avec notre pays où les meufs sont complètement dénudées dans la rue, dans les films et dans les magazines mais où on est super pudiques dès qu'il faut montrer ses tétons et ses poils pubiens. Où on a un rapport au sexe super libéré, où on est habituées à voir des femmes nues partout et à montrer nos jambes, nos bras et nos décolletés, mais où on n'est pas foutues de se retrouver librement à poil entre nous sans êtres gênées.
Dans ce hammam, les femmes étaient parfaitement à l'aise, comme chez elles, entres femmes (entre mère et fille, entre soeurs, entre amies, entre inconnues, peu importe). Il n'y avait pas de compétition. Pas apparente, du moins. Elles ne se reluquaient pas entre elles du coin de l'oeil pour se comparer les unes aux autres comme les filles le feraient en France.
(Moi, par contre, j'avais les yeux partout, ravie. Une marocaine m'a regardée en souriant : "C'est ta première fois ?" m'a t-elle demandé, amusée).
Elles étaient belles, toutes ces femmes. Même grosses, même vieilles, même pas épilées. Ca avait quelque chose de dingue, pour moi, cette ambiance de gynécée, toutes ces générations de femmes nues réunies dans la vapeur d'eau. Caro et moi, on avait l'air de femmes miniatures dans tout ça, avec nos petits culs et nos petits seins comme des piqûres de moustique, à côté de ces matrones imposantes, plantureuses, les seins généreux, la cuisse charnue. On était comme des ados entourées de leurs mères et grand-mères bienveillantes, lavées, savonnées, frictionnées, rincées. C'était bien.

En regardant toutes ces femmes nues autour de moi, je me suis demandée quel était leur rapport au sexe. Au plaisir. A leur sexe, leur sexualité, leur plaisir. 
Au Maroc, le viol dans le couple n'est pas reconnu. ("Ferme les yeux et pense à l'Angleterre" - conseil de la Reine Victoria à sa fille la veille de sa nuit de noces, selon la légende. Une belle illustration du "devoir conjugal").
La copine avec qui j'étais au hammam - et qui vit à Rabat - me racontait qu'elle avait un copain gynéco qui lui avait raconté qu'il avait vu des vagins en piteux état. Que les mecs y allaient comme des bourrins. Pas de préliminaires. On y va à sec, on pilonne, on pilonne, on pilonne, on éjacule et hop, basta. Que du rêve.
Je ne prétends évidemment pas que ça se passe comme ça dans tous les couples marocains, ni (loin de là) que ça ne se passe pas comme ça dans beaucoup de couples français. N'empêche que : Qu'en est-il du plaisir féminin dans un pays musulman ?


********

Et sinon, euh (fuck, comment j'enchaîne là dessus ?).
Sinon, donc - sans transition, hein - (je vais pas dire "à propos de couple", ce serait moyen vendeur), je suis avec Habibi depuis aujourd'hui huit mois, dites. Dingue.

C'est tout à fait nous.

Sur ce, GOSSIP TIME.

Lady V, elle, fête ses deux ans avec Choupi (oui : Choupi. C'est son nom. C'est qu'il est choupi, faut dire). Et puis elle bosse beaucoup beaucoup. Du coup, on se voit moins. Même si elle continue à m'envoyer régulièrement ces petits messages d'amour dont elle a le secret et qui me vont toujours droit au coeur. (Dernier en date : "Ta chatte"). (Rhoooo). (Moi aussi je t'aime, ma Lady).

Quant à Fleur, elle quitte Paris pour aller rejoindre l'homme de sa vie (oui, elle aussi a trouvé l'amour) et emménager avec lui à Marseille. (Elle va tellement nous manquer).
Du coup, elle fait ses cartons. Et donne des trucs. Ce qui donne parfois lieu à des conversations assez surréalistes :
Fleur : Bayane, tu veux ma mini cocotte minute ?
Lady V : Hein ? Tu donnes ta mini cocotte minute ?! Mais pourquoi tu l'emmènes pas ?
Fleur : Ben je sais pas, c'est mon mec qui a choisi ce qu'on emmenait ou non pour la cuisine, et il veut qu'on laisse la mini cocotte minute.
Lady V : Mais non, prenez-là, c'est débile !
Fleur : Mais je sais pas, il dit que c'est trop petit.
Lady V : Mais n'importe quoi, moi j'utilise la mienne tous les jours.
Fleur : Non mais je sais pas, écoute... (hésite) Il dit que ça lui fait peur.
Lady V (résignée, comme si on venait enfin de lui donner une explication digne de ce nom). Ah. Il a peur des cocottes minute. Ok. Y a plein de mecs qui ont peur des cocottes minute. Bon ben Bayane, du coup, tu la veux ?
(?!)
OH MON DIEU !! FUYEZ !! FUYEZ TOUS !!!

Mad Marylin, elle, s'est séparée de son mec (Autisme Power de son prénom, rapport à son sérieux problème de communication). (Faut dire que son boulot, c'était de passer la journée avec des singes. Ca ne s'invente pas).
Du coup elle papillonne pas mal. En attendant d'en trouver un bien, tôt ou tard.
Marilyn a un succès fou. Forcément, c'est une bombe.
Avec toutes ses conquêtes (disons en moyenne une par semaine, ces temps-ci), elle va finir par rattraper BB, cette petite gourgandine.
BB qui, elle, tourne en moyenne à trois par semaine. 
(BB : Oui, certes, c'est vrai, mais bon t'exagères : c'est toujours les trois mêmes !)
Seulement, Marylin, des fois elle en a un peu marre de se faire draguer, du coup en fin de soirée, elle est pas toujours très gentille quand un dixième lourdingue vient l'aborder dans un bar. Ca donne ça :
Un mec : (enjôleur) Salut beauté... Dis moi, c'est qui la fille tatouée sur ton bras ?
Marylin : C'est ta mère !!
(Gloups)

Enfin sinon je dis ça pour BB mais c'est pas vrai, en fait. C'est fini tout ça.
BB est en phase de mutation. (Non, elle ne mue pas comme dans V). (Oui, je sais, c'est nul).
BB est amoureuse.
D'une autre fille.
La première ne lui rendait pas son amour (ou plutôt si, mais en fait non, du moins pas vraiment, juste un peu, par à-coups, puis plus du tout, puis en fait si, puis finalement non, peut-être plus tard, quoique c'est pas sûr... une torture), la deuxième ne lui offre que du sexe et de la camaraderie de temps en temps quand BB, elle, voudrait tellement plus.
BB : Je paye pour toutes les fois où j'ai fait ça à des mecs !
Marilyn : Mais non, arrête, tu payes pour rien du tout...
Elle découvre à 30 ans les affres de l'amour non réciproque.
("Dur dur d'être bébé en amour", disait-elle, ma BB).
(Du coup, maintenant, quand on va boire des coups, on se plaint de ce que les filles sont toutes des garces sans coeurs ("Toutes des putes !") C'est bien, ça nous change ^^).


C'est sûr qu'avec les filles, ça a pas l'air facile non plus.
Et puis novice en amour, novice en sexe lesbien, notre petite BB, elle est toute perturbée.
BB : Coucher avec un mec c'est facile. Y a un bouton on/off, t'appuies dessus, et voilà. Alors qu'une fille... C'est comme d'essayer de conduire un avion ! C'est super dur !

 

C'est vrai que ça a l'air sacrément compliqué. Enfin on est au courant, hein, on est bien placées pour le savoir, et on est d'ailleurs les premières à en souffrir, mais on n'a pas la solution pour autant.
Je suis bien soulagée d'être hétéro, c'est une galère en moins. Même si bon, c'est pas toujours facile non plus. (Je vois venir d'ici le lever de bouclier de mes lecteurs masculins qui vont me dire qu'en effet petite, que nenni, faire jouir un homme, c'est pas si facile que ça). 

D'ailleurs à ce propos je lis actuellement Journal d'un Corps de Daniel Pennac (même que c'est vachement bien) et j'apprends plein de choses sur le zizi des garçons.
Je tenais donc à vous dire, messieurs, que si jamais vous voulez pisser très loin pour frimer devant vos amis (avouez), il faut "rouler votre chaussette" (vous décalotter, donc).
Ah vous saviez ?
Vous pissez très loin, alors ?
Waouh. Je suis très impressionnée.

Bref, c'est un très bon livre que je vous recommande chaudement (livre dans lequel vous apprendrez plein de petits tricks magiques pour briller dans les dîners avec votre chaussette retroussée, donc), sauf que j'arrive à la fin et que le personnage est en fin de vie : je sens qu'il va mourir, et donc j'arrive plus à lire, c'est trop triste.
Du coup hier j'ai posé mon livre parce que c'était trop poignant et j'ai préféré lire un article sur la guerre en Centrafrique. Avant de me rendre compte.
De me rendre compte que le récit de la mort d'un personnage de fiction m'était plus pénible que le récit de la mort de personnes réelles et que c'était pas normal.
Mais que j'avais appris à aimer ce personnage et que je m'identifiais à lui et à ses proches, alors que ces anonymes en Centrafrique, eux, m'étaient étrangers.
"It means very little to know that a million Chinese are starving unless you know one Chinese who is starving" (Steinbeck).
Tragic but true.

Et sinon euh... merde, j'ai pas de chute... ben euh...  oh regardez, des moustaches :


J'ai pas mieux. (Désolée).

6 commentaires:

  1. Ahah, tu te trompes Bayane quand tu parles de levées de boucliers de tes lecteurs masculins. Si tu veux mon avis, aucun d'entre nous n'osera te sortir que la difficulté de faire jouir un homme est semblable à celle de faire jouir une femme. C'est limite proche du baroud d'honneur parfois ^^

    *Moustache*

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ben à la fin de je sais plus quel article, vous avez tous protesté parce que j'avais dit que c'était plus facile de faire jouir une fille qu'un homme (tout votre truc comme quoi c'est pas parce que t'éjacules que tu jouis, tout ça), alors maintenant je sais plus, moi, je me méfie...

      (Pratique, hein, la moustache ? ^^)

      Supprimer
    2. Non, en l'occurrence, ce coup là était parce que tu semblais insinuer qu'un homme jouissait forcément (imagine le forcément souligné et en gras) lorsqu'il couchait. Ce qui n'est pas le cas. Mais cela n'empêche pas de reconnaître que l'orgasme masculin est plus facile à provoquer que le féminin.

      Tout est une question de nuances, ma chère Bayane ;)

      Supprimer
  2. En France aussi il y a des garçons qui ont recours à la technique du pilon à sec... à l'âge de 29 ans... arf...

    RépondreSupprimer
  3. Ravie de voir que tu reviens en forme, sans coqueluche ni désespoir et en filant toujours le parfait amour ! C'est chouette !

    J'avais hésité à acheter Journal d'un corps quand c'était sorti, je pense que je vais me lancer du coup. Tu as eu le courage de le finir ?

    D'ailleurs, pour compléter ce que tu dis de la compassion et la citation de Steinbeck, je crois que dans la Lettre à d'Alembert, Rousseau condamne les œuvres de fiction (de théâtre en particulier) parce que le public s'émeut sincèrement des malheurs des personnages, alors qu'il est généralement froid devant le spectacle pourtant bien réel de la misère. Moi qui pleure comme une madeleine devant à peu près n'importe quel film, mais fréquente le métro parisien sans toujours m'attendrir sur le sort de tous ceux qui y mendient, je ne peux qu'y voir un fond de vérité...

    Bon week-end !

    RépondreSupprimer
  4. Je plussoie le second post de For Blood's Sake ^^ ( je viens de prendre 10 ans dans la vue là, avec le "plussoie", ça me rappelle Wow....).

    Et je préfère lire des posts comme celui-ci, c'est beaucoup pllus rigole que le dernier ;).

    (Et puis, j'ai retrouvé les aventures de BB, Lady V, Mad Marylin et compagnie.... J'adore tous ces pseudos)

    Bon sur ce, je vais me faire la secondes saison de Vikings.

    PS : Et Dieu que j'ai adoré The Purple Wedding... J'avais lu le livre il y a longtemps, mais le voir, OMFG, Priceless (Ayé, je suis retombé dans le vocabulaire wowesque....)

    RépondreSupprimer